Ça CEst Passé Simplement 4
Lundi 13 mai
Le lundi 13 mai, dans laprès-midi, jétais en train détudier le planning du patron, celui de Mireille et le mien de façon à voir comment je pouvais envisager rune encontre avec Mireille. Javais trouvé une astuce, enfin une combine, étant donné quelle devait être à Périgueux le mercredi 23 le matin à lembauche, pour ma part en allongeant mon trajet du mardi de 50 km je pouvais être le soir à Périgueux, mais encore fallait-il que Mireille accepte de me voir.
Prenant mon téléphone je lui demandais de passer pour un problème de factures.
Arrivée dans mon bureau, elle ferma la porte et, je lui exposais mon idée, en lui précisant quarrivant aux environs de 20,00 heures, nous pourrions reprendre le scénario que nous navions pas terminé la dernière fois et quelle aurait aimé terminer. Si elle le désirait et quelle minvitât, nous pourrions finir la nuit ensemble. Si au début de mon exposé elle fut pratiquement sans réaction, lors de la fin de lexposé, elle eut un léger éclat dans les yeux. Son sens pratique reprit le dessus.
« Tu es fou, tu crois que je vais rester, pourquoi pas nue, même dans une voiture, en attendant que « Monsieur » veuille bien arriver. Et comment je saurais quand tu arriveras »
« A une dizaine de km, je trouverais bien une cabine téléphonique et je te préviendrais de mon arrivée éminente »
« Tu rêves, considères que jai deux vies, une ici au bureau, disons à Limoges, je suis respectable et respectée, en déplacement, il mest arrivée de faire quelques écarts, disons sans importance pour les différents protagonistes. Ne mélangeons pas tout. »
« Désolé, je navais pas vu ça de cette façon, je voulais juste avoir la possibilité de te voir, ces jours prochains, mais désolé, oublions tout, je nai rien dit » et elle partit.
Quant à moi, la tête et la queue basse, je me replongeais dans mes problèmes de rendez-vous et de rapports,
avec tout cette paperasse jen avais jusquà huit heures ce soir, de toutes les façons étant célibataire géographique, je pouvais rentrer à nimporte quelle heure, cétait sans problèmes.
« Non, mais que fais-tu là, je croyais que tout le monde était parti »
« Jai attendu dêtre certaine que tout le monde soit parti, et jai prévenu chez moi que jaurais un peu de retard. Je voulais mexcuser pour toute à lheure, mais il y a un problème au secteur de Poitiers. Je viens pour mexcuser et me faire pardonner,
»
Je lui coupais la parole :
« Ne texcuse pas, cétait ce que tu voulais, je peux comprendre que tu changes davis, aucune importance, je suis content que tu sois revenu »
Elle reprit : « Pour me faire pardonner, je suis comme tu aimes » et les mains sur le bureau elle se pencha et me dit « Regardes bien »
Là, en fait, je maperçus quelle avait largement augmenté son décolleté, par rapport à son précédent passage, et quen se penchant, je pouvais constater quelle ne portait pas de soutien-gorge en déduire quil en était de même sous sa jupe, il ny avait quun pas à franchir que je franchis allègrement. Je me levais faisant le tour du bureau, je la pris dans les bras, elle vint se coller à moi. Nos lèvres se retrouvèrent et nos langues se caressèrent.
Tout à coup, je me rendis compte que nous étions au bureau et que ce que nous faisions était risqué, elle due sentir ma réaction et me dit : « Ne tinquiètes pas jai vérifié que la porte dentrée est bien fermée à clé et il y a une corbeille à papier dans lescalier » et nous reprîmes et nos baisers et notre corps à corps. Enfin elle me dit :
« Pour mercredi cest daccord, je tattendrais comme tu veux, jaime cette idée. Lexpérience me tente de faire lamour ainsi. Nous pourrons faire ce que tu veux après je taccueillerais avec plaisir dans ma chambre et dans mon lit, maintenant prends moi, jai envie de toi, et toi, dis moi si tas envie de moi, oui dis moi,
puisque tu ne dis rien, je vais vérifier» et sa main descendit jusquà ma ceinture, la défit et en ouvrant la braguette de mon pantalon elle put se rendre compte de mon état.
Avant de la prendre, je glissais une main entre ses cuisses largement écartées et je lui caressais la chatte, avec un doigt suivant son sillon et remontant jusquentre ses fesses, ce qui me permit de sentir quelle était chaude, ouverte et très humide, er je fis ce petit trajet à plusieurs reprises.
« Si tu continues comme ça, tu vas me faire jouir,
mais prends moi, viens vite, jen ai envie, oui, viens,
»
Je mapprochais, elle me saisit, me guida vers et dans sa grotte damour qui maccueillit sans problème, jattrapais ses hanches et je commençais mes va et vient dans son chaud et trempé fourreau. Il ne fallut pas longtemps avant que la douce musique de sa voix démarre, minformant de son plaisir et de ses envies. Je faisais de mon mieux pour la satisfaire et il me fallait être performant pour la remercier de sa venue soffrir à moi. Javais son beau cul bien rond et tendu devant les yeux et contre mon ventre, devant ce spectacle je ne pus résister à lui flanquer une petite tape, la réaction fut vive et rapide. Elle se contracta, y compris ses muscles internes et elle dit dans un souffle : « OHHH, ouiiii, cest bon,
encore,
». Surpris, étonné et sceptique quant à ce que javais entendu, mais obéissant, je recommençais une autre claque un peu plus forte sur lautre fesse, même cause même effet : « OOOHHH,
, OUIIIII,
., jaime,
, encore,
» En même temps que je la ramonais avec énergie, je décidais de claquer son joli cul, nettement plus fort, puisquelle semblait aimer ça : « OOOHHH,
, OUIIII,
, jaime,
, prends moi fort,
, jaime que tu remplisses la chatte,
, OUUIIII,
aimes moi fort,
, bourres moi la chatte,
, tu me rends folle quand tu me prends fort comme ça ,
, je suis à toi,
.
Moi : « Des fois je me demande si tu nest pas un peu garce ? »
Mireille : « Pour toi, je suis garce et salope, mais tu aimes me faire lamour, non me baiser, je tembrasse et je me sauve, sinon, je pense que je recommencerais bien, surtout, baiser au bureau ça mexcite » Et elle fila, comme elle dit, se rapproprier.
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